Dans ce nouvel opus, l’auteur poursuit son étude entamée dans le précédent volume en revenant sur une catégorie toute particulière de tueurs en série, celle des « déséquilibrés mentaux ». Perturbateurs dyssociaux, schizophrènes, déviants sexuels…
Tous ont en commun les stigmates d’une maladie mentale encore mal définie à l’époque par le corps médical.
Dans un second temps, l’ouvrage se consacre à la question des « tueurs cupides » ou dits « de confort ». Les principales motivations de ces assassins sont connues : la recherche rapide de gains matériels. Dans les siècles précédents, ce type de criminels s’est avéré beaucoup plus présent que de nos jours. À l’époque, ils semblent bénéficier d’une certaine impunité due, en grande partie, aux manquements de la police ou aux lacunes de la justice. À l’occasion, le « crime de confort » peut également faire l’objet de commerces peu recommandables. Dans le cadre de véritables « entreprises criminelles », ces tueurs en série (souvent en famille) vont jusqu’à revendre de la chair humaine, organiser des trafics de cadavre ou ouvrir des auberges dans le but de dissimuler leurs crimes, mais surtout, de s’enrichir.